*12,2 Un seuil d’ébranlement, foulé et comme ébranlé par les multitudes qui cherchent à s’en emparer. Ou encore : un seuil que les peuples ne pourront franchir sans être ébranlés, pris de vertige. D’autres : une coupe de vertige, d’étourdissement. — Quand on assiégera Jérusalem, ou quand l’angoisse sera sur Jérusalem.
†12,3 Jérusalem sera pour la nation qui l’attaquera un fardeau à soulever qui la blessera.
‡12,6 Restera à sa place, ou sera habitée en son lieu.
§12,7 Le salut s’effectuant par Dieu seul, aucune portion de la nation n’aura le droit de s’élever au-dessus de l’autre.
*12,10 Qu’ils ont transpercé, hébr. dâqâru. Les LXX ont lu râqâdu, qu’ils ont insulté. On pourrait peut-être diviser autrement le texte : Et ils tourneront les yeux vers moi. Celui qu’ils ont transpercé, ils feront le deuil sur lui…
†12,10 Qu’ils ont transpercé, hébr. dâqâru. Les LXX ont lu râqâdu, qu’ils ont insulté. On pourrait peut-être diviser autrement le texte : Et ils tourneront les yeux vers moi. Celui qu’ils ont transpercé, ils feront le deuil sur lui…
‡12,11 Allusion à la défaite et à la mort du roi Josias dans la bataille qu’il livra au roi d’Égypte Néchao dans la plaine d’Esdrelon. Adadremmon, près de Mageddo (2Ro 23,30 ; 2Ch 34,24).
§12,12 Chaque famille : ce ne sera pas seulement un deuil national, mais un deuil de chaque famille. Le prophète mentionne comme exemple deux familles principales, et dans chacune, une branche particulière : la famille royale de David, et la branche de Nathan, fils de David ; la famille de Lévi, et la branche de Séméï. Les femmes sont distinguées à part, parce qu’elles avaient un rôle important dans les cérémonies de deuil.